Il existe de nombreux moyens de paiement que vous pouvez proposer à vos clients, en fonction de vos produits ou prestations (prix, caractéristiques), ou de votre zone d’attraction commerciale du magasin par exemple. Si vous visez l’international par exemple, vous pouvez opter pour les modes de règlement fréquemment utilisés dans les pays concernés. Ainsi, les consommateurs allemands apprécient le paiement sur facture ou par prélèvement, les Italiens le contre-remboursement. L’essentiel reste de proposer des solutions simples et rassurantes, avec une sécurité maximale et en minimisant les risques de fraude.
Il est bien entendu possible de cumuler différentes solutions de paiement, par exemple :
- la carte bancaire
- le chèque
- le virement bancaire ou postal
- les porte-monnaie virtuels, type Paypal ou Paylib
- les solutions de paiement par audiotel ou SMS
- les cartes prépayées
- les cartes privatives
- le prélèvement etc.
Si vous avez créé vous-même votre commerce en ligne, « les dépenses correspondant à la phase de développement et de production du site peuvent être inscrites à l’actif de l’entreprise ». À condition de respecter certains critères : capacité d’utiliser ou de vendre le site, création d’avantages économiques futurs, ressources techniques suffisantes pour assurer la création du site…
En revanche si votre site a été créé par un prestataire, il constitue « un élément de l’actif immobilisé de votre entreprise » explique la DGCCRF. « Les dépenses liées à cette acquisition doivent être comptabilisées dans un poste d’immobilisations incorporelles et amorties sur une durée qui ne doit pas dépasser cinq ans.» Sauf à opter pour le régime de l’amortissement exceptionnel sur douze mois.